10 décembre 2008
C'est vrai que c'est beau une ville la nuit !
Le bouquin de Bohringer est un blues, une introspection emplie d'humanité, un rêve éveillé sur des cauchemars passés mais aussi sur de belles rencontres, sur cette amitié, sur sa fille et sur cette blonde qui vous font avancer même quand on est échoué sur la banquette d'un bar dans ces heures pales de la nuit où même les chiens ne rêvent plus...
"Je crois savoir pourquoi les poètes sont malheureux. Parce qu'ils sont du signe de l'invisible. Que leur façon d'aimer est mystérieuse et souvent sans gloire"
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